"Tu marchais dans la rue comme la rue marchais en toi, la profusions de murs et de voiture, de surfaces vitrées, de squelettes sous chairs et de moteurs envoiturées chorégraphiant un malodorant ballet de faisceaux de désirs, d'argent et de représentations laissait ta matière cérébrale en bataille aux aguets flottants d'une trame musicale sur laquelle poser son attention défoncée comme une mine à ciel ouvert dans le mordor canadien.
On avait levé le couvre-feu en coupant des mains qui venait rendre sens à une noyade qui n'en avait que pour les esprits bellicisés porteurs de banane qui voulait en découdre avec des ennemis fabulés. Micro-fascisme et macro-fascisme prenaient en tenaille les contours des déraisons souhaitables, la chute de pression atmosphérisque attisait les conflits de broutille, les simplicités étaient traquées comme jadis les vies intérieures, les jardins communaux commes secrets avant elles. Gare aux fatigues tapies."
Ces lignes ne voulaient rien dire pour notre cyborg d'enquête pourtant faire semblant de les lire permettait de faire écran.
Tordre le droit la bonne idée
Quelques pages de fun et de revue musicaale :
Magnificiences lentes et régulières, eco-grime florissante, et deconstructed club rockisme :
la vie des étoiles
océanisme mélancolique, cycle de l'eau lacrymale
Musique générative, musique guérissante, aléatoire autoporté, la musique veut être libre
Musique glocale pour la fête buguée et les traînes
Musique de bonne humeur et de bon goût
Musique wordart pour grenouilles à la guitare et rastas blancs aux bongos