Salut à tou.te.s !
http://alpagerecords.com/tamar
https://kissmyyouth.bandcamp.
Si vous avez zoné du côté des itinéraires bis et des voies parallèles, vous connaissez Tamara Goukassova. Tamara est une violoniste de formation classique qui a fait ses débuts en intégrant divers projets d'électronica à la fin des années 1990 (Cellouloïd Mata / James Plotkin). Elle s'est ensuite tournée vers la pop en rejoignant the Konki Duet puis vers la cold-noise avec Strasbourg. Elle a aussi travaillé avec Marklion et Cosmic Control à plusieurs occasions. Après avoir enregistré une poignée de titres, à commencer par l'incandescent "August In September" signé sur Alpage records, elle a également eu l’honneur de sortir l’unique cassette disponible sur ce label "A sit with no view" . En live, seule aux commandes, elle produit une musique d’un romantisme froid oscillant entre rêve et paysages fulgurants, transportant le spectateur dans une electronique minimale enrichie de son violon et de sa voix, le tout marqué par une boîte à rythmes primitive.
https://soundcloud.com/our-
https://31decembre.bandcamp.
Entre techno, post-punk et joie pop, Our Fortress développe une pratique live et analogique de la musique. La position majeure de ce duo a été de tendre vers le plus d'improvisation possible, d'embrasser les accidents, ce qui a conduit à la réalisation d'un album essentiellement composé de one-shots enregistrés entre 2013 et 2014. Si Bordeaux était un film bizarre, ça pourrait être leur premier ep "Post Techno toward Less Complex", vinyle tiré à 300 exemplaires, produit par Décembre records. Concert -performance
https://harshlove.bandcamp.
https://soundcloud.com/raph-
https://www.youtube.com/watch?
Harshlove, c'est le côté obscuro-techno de Raph Sabbath, musicien électro mutant porté sur les sons midifiés et modifiés, tout à la fois deathfloor, frontwave et super actif. On a pu le voir à la guitare et aux synthés dans Acid Bonanga (actuellement en pause) et dans le groupe Strasbourg (l’album est sorti le 12 juin dernier chez Le Turc Mécanique). Lassé de maltraiter ses amplis Marshall, il s'est mis aux boucles hypnotiques cinglantes, pour nous servir une musique retorse et précise, toute en tensions. Cuir, muscles, transpiration, cris étouffés de jeunes hommes baillonnés : Harshlove roule pour les backrooms et les bunkers, entre noise narcotique, EBM satanique et défouraillage accid-punk.