En ce 21 Juin pour la fête de la musique au Bal Des Fringants nous organisons trois concerts de toute beauté ! L’occasion pour nous de vous proposer un très beau plateau avec trois groupes reconnus dans la scène des musiques actuelles Lyonnaise et pas que… Une couleur Post Rock/ Garage sera au rendez-vous sur la scène du Bal en intérieur, avec un espace dédié en extérieur devant le lieu pour le public. Espace Fooding, Stands Diy, Déco et Espace jeux pour les petits, bières et boissons softs pour tout le monde... Et vous !
► CLARA CLARA :
Formé par la fratrie Virot et Amélie Lambert (dont un livre d’études intitulé « Clara » a donné son nom au groupe sans que personne ne sache vraiment pourquoi). François le capitaine a surtout des envies de tout articuler en danses foutraques, et il a des camarades qui partagent précisément les mêmes désirs foldingos de se mettre la tête à l’envers. Dynamiter l’électro à coup de saloperies noise ?
Possible : leur album Comfortable Problems a les rebonds efficaces qui plonge ses brillantes petites merveilles dans de dantesques ouragans sonores. Paumer l’auditeur dans des chansons en forme de labyrinthes pop, sans pour autant lui foutre la cht’ouille ? Facile : complexe mais jamais dans le vide, Comfortable Problems a certes les apparences d’un dédale, mais il fournit à chaque instant à son visiteur carte et boussole, sous la forme de mélodies en crochets indécollables.
Venez découvrir sur la scène du Bal la formidable introduction Paper Crowns ou Under the Skirt, tubes en bubble-gum TNT, pour se convaincre que le bonheur s’attrape parfois comme une bonne grosse paire de baffes !
Heureusement, il reste encore des groupes pour nous ouvrir l’appétit et nous pousser à remettre le couvert. Regal fait partie de ceux-là.
Les nouveaux protégés de Born Bad Records explosent les codes du rock garage et ne recherchent surtout pas à ressembler à qui que ce soit. Puisqu’il faut bien commencer à un point pour arriver à un autre, le rock garage n’est ici qu’un prétexte pour explorer d’autres horizons. Comme les Britanniques, Regal n’hésite pas à alterner ballade débraillée. Loin d’être un groupe de poseurs comme beaucoup de leurs collègues garagistes, le groupe se joue des styles en les passant à la moulinette avec une décontraction maîtrisée et une énergie communicative. Ils ne singent personne et sont tout simplement eux-mêmes. Cette sincérité ressentie tout au long du disque fait en sorte que l’on n’est pas prêt à mettre Regal de côté pour un énième groupe garage venu sauver le genre.
Sur actif depuis plus d’une dizaine d’années, le Lyonnais, nouvellement Suédois, n’a cessé de retourner les sens à coups d’albums allant s’établir aux quatre coins des styles, en solo ou en groupe: on ne compte plus les projets dans lesquels il a pu officier, passant volontiers de la mélodie la plus pure au parfait assassinat sonore. Sheik Anorak est le projet solo du bonhomme, dans lequel celui-ci, à la toute base, se permettait des riffs qui aujourd’hui sont diablement plus expérimentés, Gaffer, sur son dernier album, Let’s Just Bullshit Our Way Through, passe le niveau supérieur et polit avec minutie une superbe suite de morceaux aux vertus plus que raffinées. Sheik Anorak laisse tomber le voile de la distorsion pour découvrir un ensemble de morceaux parfaitement captivants. L’évolution est assez nette, impressionnante car se défiant de toute volonté de rouler sa bosse sur un chemin établi.
En ce 21 Juin pour la fête de la musique au Bal Des Fringants nous organisons trois concerts de toute beauté ! L’occasion pour nous de vous proposer un très beau plateau avec trois groupes reconnus dans la scène des musiques actuelles Lyonnaise et pas que… Une couleur Post Rock/ Garage sera au rendez-vous sur la scène du Bal en intérieur, avec un espace dédié en extérieur devant le lieu pour le public. Espace Fooding, Stands Diy, Déco et Espace jeux pour les petits, bières et boissons softs pour tout le monde... Et vous !
► CLARA CLARA :
Formé par la fratrie Virot et Amélie Lambert (dont un livre d’études intitulé « Clara » a donné son nom au groupe sans que personne ne sache vraiment pourquoi). François le capitaine a surtout des envies de tout articuler en danses foutraques, et il a des camarades qui partagent précisément les mêmes désirs foldingos de se mettre la tête à l’envers. Dynamiter l’électro à coup de saloperiesnoise?
Possible :leur albumComfortable Problemsa les rebonds efficaces qui plonge ses brillantes petites merveilles dans de dantesques ouragans sonores. Paumer l’auditeur dans des chansons en forme de labyrinthes pop, sans pour autant lui foutre la cht’ouille ? Facile :complexe mais jamais dans le vide,Comfortable Problemsa certes les apparences d’un dédale, mais il fournit à chaque instant à son visiteur carte et boussole, sous la forme de mélodies en crochets indécollables.
Venez découvrir sur la scène du Bal la formidable introductionPaper CrownsouUnder the Skirt, tubes en bubble-gum TNT, pour se convaincre que le bonheur s’attrape parfois comme une bonne grosse paire de baffes !
Heureusement, il reste encore des groupes pour nous ouvrir l’appétit et nous pousser à remettre le couvert. Regal fait partie de ceux-là.
Les nouveaux protégés de Born Bad Records explosent les codes du rock garage et ne recherchent surtout pas à ressembler à qui que ce soit. Puisqu’il faut bien commencer à un point pour arriver à un autre, le rock garage n’est ici qu’un prétexte pour explorer d’autres horizons. Comme les Britanniques, Regal n’hésite pas à alterner ballade débraillée. Loin d’être un groupe de poseurs comme beaucoup de leurs collègues garagistes, le groupe se joue des styles en les passant à la moulinette avec une décontraction maîtrisée et une énergie communicative. Ils ne singent personne et sont tout simplement eux-mêmes. Cette sincérité ressentie tout au long du disque fait en sorte que l’on n’est pas prêt à mettre Regal de côté pour un énième groupe garage venu sauver le genre.
Sur actif depuis plus d’une dizaine d’années, le Lyonnais, nouvellement Suédois, n’a cessé de retourner les sens à coups d’albums allant s’établir aux quatre coins des styles, en solo ou en groupe: on ne compte plus les projets dans lesquels il a pu officier, passant volontiers de la mélodie la plus pure au parfait assassinat sonore. Sheik Anorak est le projet solo du bonhomme, dans lequel celui-ci, à la toute base, se permettait des riffs qui aujourd’hui sont diablement plus expérimentés, Gaffer, sur son dernier album,Let’s Just Bullshit Our Way Through, passe le niveau supérieur et polit avec minutie une superbe suite de morceaux aux vertus plus que raffinées. Sheik Anorak laisse tomber le voile de la distorsion pour découvrir un ensemble de morceaux parfaitement captivants. L’évolution est assez nette, impressionnante car se défiant de toute volonté de rouler sa bosse sur un chemin établi.