Dim 2 juin : causerie finale de maxime paillot + sortie du livre tonalités @ cri de l'encre
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- Mis à jour : mardi 25 mars 2014 15:32
- Écrit par cri de l'encre
Causerie finale de Maxime Paillot : synthèse et sortie du livre Tonalités
Entrée libre
Le 2 juin à 17h, aura lieu, au Cri de l’Encre, la sortie du livre venant compiler l’ensemble des causeries que j’ai pu mener depuis un an et demi dans le cadre de mes mises en disposition à la Métaphysique. A cette occasion, je présenterai un nouveau texte, non publié, qui aura pour objectif de dévoiler une forme de synthèse des six discours prononcés jusqu’alors. L’intention ne sera évidemment pas de résumer tout ce qui a pu être dit depuis janvier 2012. L’intention sera tout à la fois d’exhiber la méthode philosophique supposée par le texte, mais également de parvenir à une forme de dépassement de tout ce qui a été affirmé. C’est d’ailleurs l’objectif d’une synthèse en philosophie : révéler le tronc commun à tous les points de vue et réfuter ce qui doit être réfuté.
Mais, une conception différente du discours philosophique se manifestera, dans la mesure où je chercherai également à me réfuter par l’entremise d’un dialogue entre un homme et chacune des émotions décrites dans ce projet (angoisse, ennui, souci et sollicitude). Je ne chercherai évidemment pas à détruire mon travail et à le déconstruire par pure obsession nihiliste. Je chercherai bien plutôt par ce biais à montrer que le discours philosophique n’est pas un discours de connaissances vraies, mais un discours descriptif en mouvement des différentes colorations quotidiennes de la conscience, colorations parfois contradictoires, jamais totalement vraies, mais toujours partiellement fidèles.
Le 2 juin, viendra clore un projet d’un an et demi, projet matérialisé par un livre et dépassé par des mots parlés.
La lecture se terminera par une discussion autour d’un verre et la présentation du livre TONALITES publié par Le Cri de l’Encre et surtout mon amie Madame Lapin que j’aime plus que tout.
En espérant vous y voir nombreux,
Maxime PAILLOT