Le froid arrive, les jours raccourcissent, viens donc te réchauffer dans la moiteur torride du Kraspek (20 Montée Saint Sébastien 69001 LYON) pour écouter "ça" (Complications Electriques, Lyon) et "Maiale" (Prog Jazzcore, Lyon) au Kraspek le jeudi 4 décembre à 20h30.
Comme chaque année, le collectif impliqué à l'atelier de sérigraphie BLACKSCREEN sort miraculeusement son calendrier, comme chaque année il sera vendu en soutien au fonctionnement à l'atelier !
à La Luttine | 91 rue Montesquieu, Guillotière avec distro de disques & fanzines et café, comme tous les samedis de l'année https://laluttine.wordpress.com/
Je connais peu le plan, je sais juste que samedi, dans un appart, entre 17 et pas d'heure, une succession de concerts de 30 minutes auront lieu au casque.
Il y aura notamment House of John Player, Jean Bender, Gaël Moissonnier, Raymond IV... Et plein d'autres.
J'imagine qu'il faut trouver un moyen de contacter ce placard, peut-être en se log in. Il y aura aussi un stream à priori. Et y a un chat irc pour peut-être joindre le mec. Si on trouve un moyen plus simple pour en savoir plus, on mettra à jour ce post.
Jan Jelinek (Live) & Raymond IV (Live) concerts organisés par LYL 15 novembre 2014 — de 20h à 23h au Théâtre Le Croiseur — 4 rue Croix-Barret, Lyon 69007 5€ — billetterie uniquement sur place.
Pour cette première soirée de concerts — le 15 novembre 2014, de 20h à 23h, produite en collaboration avec le théâtre SCENE 7 - LE CROISEUR ; LYL invite Jan Jelinek, artiste allemand polyvalent, musicien à la prolifique carrière et patron du label Faitiche, ainsi que Raymond IV, musicien lyonnais et instigateur du label expérimentaliste Mus Joutra, pour deux performances conçues spécialement pour l'occasion, présentant deux versions, très personnelles, du répertoire sonore contemporain.
Compositeurs électroniques tout deux, l'un travaillant essentiellement sur la spatialisation sonore -à travers une diffusion quadriphonique; l'autre empruntant une voie musicale mixte, oscillant entre jazz et expérimentation analogique, ils dispenserons leurs musiques via deux dispositifs apparemment antagonistes, quoique profondément complémentaires, engageant à de rares expériences sensorielles. La première partie se déroulera dans un noir total, ne laissant vivre que l'oreille et le corps dans l'espace sonore crée par Raymond IV. La deuxième partie verra, quand à elle, une installation vidéo s'agréger aux délicates circonvolutions analogiques de l'allemand.
Correspondance de deux formules bien différentes, mais plaçant toujours l'écoutant au centre des processus de création, l'une s'exerçant intensément sur le corps, détruisant la vision comme l'estrade sonore, l'autre fabriquant une matière musicale proprement fabuleuse, pourvoyant aux imaginaires directions joyeusement emmêlées.
Musicien de tradition visuelle, artiste plasticien, exposé entre autre à Pompidou, il nous concerne plus ici par sa production sonore, qu'il continue d'augmenter, quinze ans après en avoir inauguré la collection. Orienté d'abord vers le jazz (crochetant vers la soul aussi), qu'il remanie avec ces instruments électroniques, en extrapolant l'attrait, la liberté et la chaleur, il s'engage de plus en plus résolument dans des procès expérimentaux — abstrayant les rythmes, les systèmes, et créant par la même occasion différents avatars tels qu'Ursula Bogner, Farben ou G.E.S., nouant également de délicates collaborations, avec son ami Andrew Pekler, ou le vibraphoniste japonais Masayoshi Fujita, toutes transitant désormais par son label: Faitiche.
La plateforme relaie depuis 2010 l'ensemble de ses recherches et performances (installations vidéo, sonores, expositions et mixs thématiques), et porte, en son nom déjà, le projet musical de l'artiste allemand. Contraction de ''fait'' et ''fétiche'', le concept de faitiche marque l'oscillation permanente entre l'anxiété factuelle et l'obsession surnaturelle, un cours souple, que reprend musicalement Jelinek, extirpant des manipulations fiévreuses d'incroyables instruments analogiques et mécaniques de doucereuses rêveries sonores, des fables aux thèmes éthérés.
Pour cette première date à Lyon, il présentera un live encore inouï, soutenu par une installation vidéo reposant sur les circulations et mouvements de l'audience.
Artiste sonore lyonnais, Thibaut de Raymond – de son vrai nom, explore depuis plusieurs années les potentialités de la quadriphonie, technique de diffusion audio rapidement marginalisée après son introduction dans les années 1970. Il crée par ce biais un espace sonore détonant, forcément déconcertant pour l'auditeur, qui voit ses référents (écoute frontale, stéréo) se déliter dans l'éparpillement du son — un trouble heureux, renforcé par l'immersion dans le noir du public.
Pièce acousmatique donc, occultant l'œil pour mieux exciter l'oreille, elle invite l'auditeur à circuler à travers un espace sonore pour en percevoir les perpétuelles variations. La polygamie sonore crée par Raymond IV, qui entremêle différents rythmes et nappes pour produire une expérience physique désarçonnante, est à la mesure des multiples productions enregistrées et diffusées par son label fondé en 2010, Mus Joutra. Distribuées uniquement sur cassette elles forment une riche matière musicale, qu'il se charge de renouveler sans cesse, les croisant lors de mixs sur bandes magnétiques, ou en étendant encore le catalogue.
Raymond IV a conçu et composé une œuvre spécialement pour cette date au théâtre Le Croiseur, qu'il présentera, en première partie de la soirée de concerts du 15 novembre 2014 organisée par LYL.
Si tu es comme moi, tu aimes les palindromes, la pop-punk rigolote, et tu organises le quatuor de Seattle TACOCAT le 10 novembre au Sonic.
Tu n'as pas eu à réfléchir beaucoup avant de dire oui : les 30 premières secondes de Crimson Wave auront suffi à te convaincre (mp3 - vidéo)
THERE ARE COMMUNISTS IN THE SUMMER HOUSE !
Mais Tacocat n'est pas le groupe d'un seul et unique tube menstruel comme le prouve Hey Girl, hymne d'une actualité malheureusement éternelle sur le harcèlement de rue, à écouter très fort sur son lecteur mp3 en faisant semblant de pas entendre le creep qui te trouve bien mignonne mais qui pense que tu devrais sourire un peu plus quand même.
Vous en voulez encore ? Ça tombe bien, ÇA NE S'ARRÊTE JAMAIS.
Je sais pas si ça te fait pareil qu'à moi, mais j'ai des palpitations et j'ai hyper envie de traverser ton écran pour qu'on danse ensemble, là tout de suite, et qu'on trinque avec des noix de cocos.
GRAND ROYALE
Lle nouveau groupe de Frank Gaffer, Daminos de l'épicerie, et d'un batteur inconnu de mes services répondant au doux patronyme de Rémi - soit des membres de formations prestiges comme Alabaster, Celkilt, Sheik Anorak, Neige Morte, LOUP, Total Eclipse). C'est de l'indie rock pan dans les dents qui n'a pas peur de crier sa fragilité et son amour de la mélodie efficace. http://grandroyale.bandcamp.com/track/all-or-nothing
HOUSE OF JOHN PLAYER
Et puis, sans doute pour la même raison cosmique qui fait qu'on ne t'offre jamais autant de verres que quand t'as arrêté de boire, ou que tu te fais jamais autant draguer que quand tu baises déjà régulièrement, et d'après le proverbe qui veut que "plus on est de fous, plus on rit, mais moins vous serez payés", le birthday boy à l'origine de tout ce bordel s'est gentiment proposé pour jouer, vu que pour son dernier concert aux bons sauvages y avait pas grand monde (moi j'avais le rhume, mais c'est quoi ton excuse à toi, hein ?). HOUSE OF JOHN PLAYER (Dean de GAMMY BIRD) c'était bien avant, donc ça doit être encore mieux maintenant. Je pique sans vergogne le descriptif du dernier concert : pop lo-fi / espoir, Lyon/Bletchley http://houseofjohnplayer.bandcamp.com/
Écrit par Barbapop et Armelle Salade de fruits jolie jolie
Exposition BROUHAHA Jusqu'à Samedi 29 Novembre, midi à la MJC Monplaisir 25 av des frères Lumière Lyon 8eUne exposition Barbapop vs Salade de fruits Jolie Jolie 20 super artistes exposent 100 dessins et peintures Avec...
à l'occasion de la sortie de l'abécédaire pour les enfants, sobrement appelé « ALPHABET » où chaque lettre est dessinée par une des 26 personnes invitées. http://www.barbapop.com/
Dissimulant son hyperactivité derrière l'utilisation de pseudonymes divers et variés, le canadien Aaron Funk aka VENETIAN SNARES est peut-être bien l'un des artistes les plus prolifiques de sa génération, tous styles confondus.
Multipliant les collaborations parfois en dehors du cercle des musiques électroniques, VENETIAN SNARES est devenu après bientôt 20 ans d'activité le roi incontesté du breakcore. Le titre de son dernier album en date, "My Love is a Bulldozer" (Planet Mu, Juin 2014), en dit long sur ses intentions, et son retour à Lyon plus de cinq ans après son dernier concert au Rail Théâtre. https://www.youtube.com/watch?v=j09t2hnWgHo http://venetiansnares.bandcamp.com/
Il sera pour l'occasion accompagné du trio math-rock ROOM 204 (de la tribu Kythibong Records). http://room204.bandcamp.com/
VENETIAN SNARES + ROOM 204 - MERCREDI 05 NOVEMBRE 2014 à 20h30
MARCHÉ GARE // 34 rue Casimir Périer - Lyon 2ème Accès Tram T1 station Sainte Blandine (+ station velov à proximité) http://www.marchegare.fr/
> 12€ abonnés Marché Gare > 14€ préventes > 16€ sur place