Le festival Expédition est une grande aventure qui s’étendra à travers plusieurs contrées durant six épisodes. Pour le premier épisode Expédition s’accompagne d'artistes qui officient dans le graff, le dessin, la micro-édition, la bande dessinée, la sérigraphie, la musique... Ces artistes ont chacun créé des oeuvres originales autour du thème “Expédition”. Editées en nombre limité, elles ont été transformée en affiches, cartes postales, t-shirts…Chaque objet est dévoilé en avant-première et mis en vente pour soutenir le festival, sur le site internet de Expedition : www.expeditionfanzines.com
Premiers arrivés, premiers chanceux ! Retrouvez ces goodies ici. Surfez sur les dessins et les couleurs, choisissez les élus de votre choix, passez commande puis récupérez les lors de la soirée au Transbordeur. Si vous ne pouvez pas venir, on vous les envoie quand même. Vous pourrez aussi acquérir les mignons objets le 15 juillet.
Coati Collector c’est donc une soirée pour fouiller et trouver ses trésors, écouter de la musique, danser, feuilleter des livres dans le Fanzinobus du Cri de l’encre, gouter à des saveurs raffinées et des plats rigolos sortis de la cuisine de Chienpookinimiyaki, découvrir une grande exposition de dessins réalisés par toi, moi, nous, vous, les copains, tous conçus eux aussi pour l’occasion, sérigraphier en live… C’est le lancement d’Expédition, c’est la fête!
Musique pour poissons freaks ayant muté au gré des bombardements nucléaires. Requins albinos, pieuvres à quatre têtes, dauphins à trois ailerons.
Emeline XIII (Lyon, Groovedge Posse)
Un dj set space disco, heavy techno, nervous acid.
Cycloptik (Lyon)
Vidéaste specialisé dans la video expérimentale, Cycloptik travaille son live à base de diapositives, d’extraits de films et de jeux de lumière créés en direct.
Expo collective Coati Collector (Lyon and everywhere)
Une grande expo collective à laquelle plus de 50 personnes ont participé: plein de dessins et autres créations variées à découvrir autour du thème Expédition.
Le Fanzinobus du Cri de l’Encre (Lyon) :
C’est une bibliothèque sur roue de livres micro-édités qui comprend plus de mille ouvrages provenant de toute l'Europe.
De la sérigraphie live avec Inkpress Sérigraphie et Microclimat (Lyon).
La cantine de Chienpookinimiyaki (Lyon) :
El Shopo présente Chienpookinimiyaki, pop-up restaurant open-source. Ici on allie arts visuels et street-food japonaise. chienpookonomiyaki.tumblr.com
Conférence/débat Annulé A 19h, sur le peu d’informations sur les migrations et les centres de rétention Puis concerts à partir de 21h30 avec Lésion étrange, Sulphat’kétamine, Pistolets et Sound System Au Kutsak, au fond de la rue Cyrano, plus d’infos sur contact[at]rebellyon.info.
Samedi 27 juin
De 13h à 17h, Journée de présentations et tables ronde sur les médias libres avec infokiosque et tables de presse De 18h à 22h, Concerts en folie avec Cascarrabias, Saddam webcam, Sulphat’kétamine, Les Rollmops, La rafale + surprise Programme des groupes susceptible de modification. Sur la place Guichard, 69003 Buvette et restauration sur place
Dimanche 28 juin
A partir de 20h, Ciné club avec Citizenfour, documentaire sur Edward Snowden, à L’Atelier des Canulars, 91 rue Montesquieu, 69007
Tous les visuels de communication sont à la fin de cet article, n’hésitez pas à partager, imprimer, diffuser !
Pour leur première soirée Mademoiselle Major et Jutix paient leur première coloc pour 6 boules!
On t’explique… t’inquiètes, on va pas la faire longue…!
Comme un « Jack In A Box » les soirées Notte brigante sont une invitation à passer quelques heures ou toute une nuit dans un canap moelleux recouvert d’un plaid en fil de beats, près d’une table de salon parsemée de bon lives éxpés et de pas mal de Dj qui sonnent à la porte pour secouer le tapis.
Alors sors de ton tiroir, ramène tes potes planqués dans le placard, débarque dans notre appart dont l’adresse change à chaque fois pour que jamais tu ne te lasses de la déco.
Et surtout, ouvre la porte du frigo ! Au menu : pots, bouteilles et emballages de sons divers et variés !
En bref, on te paye l’apéro et l’after, pour le prix d’une galette Kebab!! T’en es ?
Electron Canon est la rencontre de Michel Machine et Jean Bender, une recherche autour de leurs projets solos respectifs. L'un triture des larsens vidéos produits par les sons que l'autre extirpe d'instruments de musique détournés et fabriqués par ses soins. Grâce à ce dialogue sensible et concret entre matière sonore et lumineuse, ils cherchent à propulser le spectateur dans un espace physique où les deux ne font qu'un, se jouant des repères sensitifs traditionnels. L’électricité s'y voit disséquée sous différents angles, codée par divers obstacles, transmise, captée à nouveau et chargée de ces expériences formelles surgit en un maelström visuel et auditif.
Jonathan Grandcollot batteur de l'excellent feu-panpanpan, décomplexe ici le rythme à bases d'un bon vieux séquenceur et de percussions. C'est donc de la musique électronique dans tout ses termes
Ils forment la société étrange à trois. C’est une société réduite et occasionnelle pleine d’eau et d’électricité, une musique en continue, à différents régimes d’intensité, ou le vide et le plein se confondent. Le concert, c’est la grande réunion. On forme un groupe social concentré sur l’expérience sonore, un groupe sonore réunit par l’expérience sociale. Au choix la société !
On jurerait trouver une contrepèterie dans son nom. On a eu beau chercher, on n’en a pas trouvé pour l’instant. Par contre, on a trouvé que loin d’être un rébarbatif nerd qui te montre l’étendue de sa collec de geek, pardon de disques, Jan sait puiser dans l’insondable profondeur de son bac pour t’en extraire une sélection variée, changeante et surprenante ! (merde, j’ai plus de rime en ante)
« Jutix ? Une de nos meilleures chances de médaille qui a malheureusement décidé de devenir un beau barbu, bien habillé et féru de musique électronique. » Frédéric D., ex-parrain de Freestyler Magazine
Après avoir commencé par des sets Acid techno mixés à l’auto-synchro sur une console Hercules entrée de gamme, Jean Kirk finit par apprendre à caler (des fois) auprès de ses ainés d’ICONE et succombe à la passion des vinyles.
❚❚ INFOS PRATIQUES ❚❚ 6 eurosEt oui ! C’est là !
BOX BOYS 30 Rue Burdeau, 69001 LyonEn centre-ville gros !
New York n'en finit pas d'alimenter sa légende. C'est en effet dans ses rues crades que Your Old Droog puise son génie musical et son indéniable sens de la punchline. Un immigré venu d'Ukraine, prenant en pleine poire le hip hop new yorkais, et ses figures de proue, Big Daddy Kane,Kool G Rap ou Big L, on pourrait dire que l'histoire est classique. Le reste l'est moins, de ses premieres apparitions laissant planer les comparaisons avec Nas jusqu'a son récent album Kinison, pétri de références rock,Your Old Droog a su transformer l'essai, jusqu'a devenir la hype du moment, et côtoyer sur scène Marco Polo, Dj Premier et Royce da 59. Ne soyez donc nullement étonné de le voir sur scène remuer les foules avec la frénésie d'un geek découvrant la fonction poke sur Facebook. Beats fat, flow imparables, il y'a fort à parier que Ton Vieux Pote a sans doute envie de laisser une marque impérissable lors de son premier passage en France. Prenez part à l'histoire.
LA JUNGLE est un crew composé de : Pers One, Shapyro, Neuja, S-Tedy, T-Aim, l'Exodus et Sale Gosse Beatmaker. Découverts sur la scène de la Triperie, il viendront mettre le feu au Sonic, accompagné du Mc à plein temps et beatmaker à ses heures perdues ORPHEE. Entre boom bap et sonorités new school, fond et forme, samples calmes et énergie débordante sur scène, le combo La Jungle x Orphee confirmera sa place de « Rookie of the year ».
Tarif : 10 € en pré-ventes chez Sofa rue d'Algérie, Lyon 1er.
DEAD RIDER (deconstructive rock electro noise - Chicago - Drag City)
Traduction en anglais de son nom en allemand : Dead Rider est le dernier projet en date du guitariste Todd Rittman membre des regrettés, mythiques et confidentiels US Maple, après un projet bref mais exaltant dénommée Singer. Plutôt connu pour son jeu de guitare, il est dans Dead Rider le frontman qui emmène toute sa petite troupe avec un sens du songwriting plutôt inattendu, développant un univers où nappes électroniques, batteries groovy breakées et guitares dissonantes concourent à créer des pop songs sombres faussement "touchy" et parsemées d'improvisations. Car l'objectif de Rittman, depuis des décennies maintenant, a toujours été de nous conduire vers des territoires inexplorés où l'inattendu n'est accessible qu'en lâchant prise. Comme un "Dr Bowie and Mr Yow", comme si le Captain coeur de Boeuf s'était mis au moog ! Le Troisième Lp Chills on Glass est sorti chez Drag City en 2014. Il est fort possible qu'il n'ait pas mis les pieds à Lyon depuis plus de 10 ans !
Adeptes du grand écart aérien comme du blitzkrieg hallucinogène, amoureux des chevauchées fantastiques comme des digressions, amateurs du chaud et du froid, féroces utilisateurs de l’électricité, de la dissonance, des flux magnétiques, de la thermodynamiques et des changements d’état, les trois musiciens rendent autant hommage à Captain Beefheart qu’à Grand Ulena, génial groupe américain à l’existence aussi brève qu’essentielle. Il y a donc du blues dévoyé chez Torticoli, comme il y a du noise-rock et du math-rock mais ces simples étiquettes ne suffisent pas, elles sont trop restrictives, trop normatives, trop banales : tout vole en éclat et tout se reconstruit, dans un même mouvement, dynamique et précis mais aussi libre, ample et généreux (Hazam Modoff)
Un des trucs les plus dingos qu'il sera (quasi) donné de voir ce printemps. Yonatan Gat a été le guitariste du groupe israélien Monotonix (2005-2011) connu pour ses performances déglinguées et un penchant pathologique pour enflammer les salles. Littéralement. C'est donc sur les cendres de Monotonix (facile !) que Yonatan Gat a d'abord sorti Iberian Passage, premier LP daté de mai 2014, puis Director en janvier dernier.
Pour les érudits, on dira que Yonatan Gat donne dans le tropicalia tendance punk, avec tout un tas d'éléments jazz ludiques et pas mal d'improvisation.
Pour les autres, il faut juste savoir que c'est un trio guitare / basse / batterie, que ça joue fort, ça joue bien, ça joue au sol, c'est psyché, ça groove et ça part en couilles.
Quelques mots de présentation piqués lâchement aux copains de Nancy !
GENTLE VEINCUT (Frankfurt)
Formé en 1990, les allemands de Gentle Veincut ont joué des centaines de lives partout en Europe. La musique est forte NoiseRock/PostPunk avec une influence NoWave. Les chroniqueurs d’albums les comparent aux groupes tels que Jesus Lizard, Shellac, Sonic Youth, mais néanmoins ayant leur propre et unique style !
Quartet irlandais sévissant depuis 2008, Hands Up Who Wants To Die crache un noise-rock tirant vers le hardcore, rappelant autant Big'N que Enablers, Fugazi et j'en passe. Deux ans après leur formation, ils sortent un split album avec I'll Eat Your Face, suivi d'un premier véritable album en 2012 (Buffalo Buffalo Buffalo Buffalo Buffalo) chez Richter Collective, qui donnera le ton et la patte du groupe et qui permettra aux dublinois de s'exprimer en marge de la masse et de tourner dans quelques rades en dehors de leurs frontières. Un second LP nommé Vega In The Lyre voit le jour en septembre 2014, via un paquet de labels dont Learning Curve et Art For Blind.